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Les témoins d'outre-mer
Mayotte : l'atlas des reptiles
- Magazines
- 25 min 59 s
- indisponible
- tous publics
Nella Bipat et ses chroniqueurs vous emmènent dans les territoires d'Outre-mer. Au programme aujourd'hui :
Polynésie française : la culture du Tiki
Vénéré par certains, craint par d’autres, il représente à la fois le passé et les croyances de l’archipel.
Les Tiki ont pour vocation première de protéger les habitants et de les éloigner des mauvaises énergies. Ils représentent en général un homme légèrement modifié, petit et trapu. Selon les sorciers locaux, les Tikis représenteraient Tiki, ce premier homme mi-humain mi-dieu qui engendra tous les humains. De nombreuses légendes l’entourent, variant au fil des différentes îles de Polynésie.
Guyane : le camp Canopée
Ce camp unique en Guyane vous permet de découvrir le monde de la canopée et d’approcher la cime des arbres. Il est possible d'y dormir à dix mètres de hauteur dans des carbets arboricoles ou de pratiquer de nombreuses activités aériennes : plateformes d’observation à 15m, 36m et 42m, tyroliennes et descente en rappel.
Nouvelle-Calédonie : Tyloup le collectionneur
A Nouméa, Tyloup passe son temps à arpenter les vides greniers. Ce collectionneur espère dénicher tout ce qui est attrait au bagne et à la culture kanak.
Mayotte : l'atlas des reptiles
A Mayotte, dans l’océan Indien, un écologue (analyse et prévoit l’impact des activités humaines sur la biodiversité) nous fait découvrir son travail et ce qui le passionne : les reptiles.
A Mayotte, dans l’océan Indien, un écologue (analyse et prévoit l’impact des activités humaines sur la biodiversité) nous fait découvrir son travail et ce qui le passionne : les reptiles.
Grâce à ses recherches, Stéphane Augros en a fait un livre « Atlas des amphibiens et des reptiles terrestres de l’archipel des Comores » publié chez Biotope édition. Son objectif, les recenser et les préserver.
Recette : salade de lentilles et chiquetaille de morue
Martinique : le retour du café
La production de café a pendant longtemps été boudée par les producteurs agricoles. Aujourd’hui, elle fait un retour en force très corsé. Au pied des pitons du Carbet, un agriculteur veut relancer la culture du café martiniquais. Implanté dès le XVIIIème siècle, cette plante a progressivement disparu au profit de la canne à sucre et de la banane. Christophe Amable a lancé sa production il y a trois ans et entretient un petit domaine de 450 plants.
Présenté par : Nella Bipat